Aujourd’hui, au monument Kwame Nkrumah, les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016 en synergie avec les autres syndicats de l’Éducation sont montés sur le créneau une fois de plus afin de dénoncer les actes commis sur le corps enseignant.
Cependant on pouvait voir sur les têtes des participants attachés avec des foulards rouges des slogans comme « Nom au mépris du gouvernement envers les enseignants » ou encore « le personnel enseignant veut une amélioration de ses conditions de vie et de travail.
Pour certaines participants que l’année soit blanche cela n’encombre qu’au gouvernement et attendent serré la ceinture jusqu’à l’atteinte des objectifs de leurs revendications.
Syndicalistes, veulent changer les donnes, en poussant l’Etat à ne plus être sapeur-pompier.
Selon Adama Fomba, le porte-parole des syndicats, les moyens existent bel et bien au regard de la dilapidation à ciel ouvert des deniers de l’Etat.
Poursuit en martelant « que les points de divergence ne sont pas tous d’autre financière »
Les points de revendication qui ont fait l’objet de d’accord reste inerte depuis plus de deux ans, Qu’ils sont revenus sur ces points de revendication parce que le gouvernement n’a pas honoré ses engagements sur lesdits points. A-t-il affirmé
Selon lui, le gouvernement ne réagit pas, tout simplement, que l’école des enfants pauvres n’est pas une priorité pour eux.
Jean Pierre KEITA
Source: Mandeinfos
