Salon international du secteur de la santé au Mali : Le défi de l’organisation de la première édition relevé

L’Agence Kenya Expo et ses partenaires organisent ont organisé les 9, 10 et 11 janvier 2020, au Centre International des Conférences de Bamako (CICB), la première édition du salon international de la santé dénommée: «Keneya Expo 2020». L’ouverture a été faite par le représentant du Ministre de la santé et des affaires sociales, Cheick Oumar Dembélé, en présence du président de l’Ordre des pharmaciens du Mali, Dr Aliou Badra Wade, la directrice associée de Kenya Expo 2020, Dr Maria Cecil Dembélé, le président de l’inter Ordre de la santé, Dr Mohamed Cheick Haidara, des représentantes des ordres des médecins et des sages femmes du Mali, conférenciers, universitaires venus du Mali et de l’étranger, et plusieurs autres participants.

Cheick Oumar Dembélé, a indiqué au nom du ministre de  la santé et  des affaires sociales, salué que  la première fois se tienne  dans  notre pays une édition  regroupant représentant  du secteur  privé, public, les acteurs  de  la santé  au Mali, pour  faire la promotion du bine être. Remercié  les  tous ceux qui sont venus  prendre part  à cette activité  malgré  la situation sécuritaire  du Mali. Cet évènement qui nous réunit, dit-il, à savoir Kenya Expo Bamako 2020, est un espace  de rencontre, d’échange, de formation, d’infirmation, et d’innovation  thérapeutique et technologique. L’innovation  ne  se décrète pas vous vous  le  savez  en santé  ou ailleurs; elle vient des acteurs eux-mêmes,  qui, à  l’échelle  de leur territoire ou  de  leur pays, mettent  en œuvre  des projets innovants. Il convient donc, suggère  Cheick Oumar Dembélé, de laisser aux acteurs, l’autonomie  de s’organise, de créer  leur interface, de modérer bref, leur  environnement. Kenya Expo Bamako 2020, a souligné le représentant du ministre  de la santé, nous offre cette opportunité exceptionnelle, de créer un réseau  internationale  solide. Cette édition, se réjouit  Cheick Oumar Dembélé, traite  le dynamisme des acteurs  du secteur  de  la santé qui évoluent en conformité avec la politique  nationale  de santé et le règlement sanitaire  internationale. Kenya  Expo Bamako 2020, ajoute-t-il, illustre aussi, la volonté de notre communauté scientifique, de se tourner vers l’innovation et l’accompagnement  du changement. Accédé sur la construction  d’un système  de santé  de demain, dit-il, il est l’outil pertinent  de  pédagogie, et de prospective. C’est aussi l’occasion, ajoute le représentant du ministre  de la santé, de mieux appréhender  les enjeux  et d’y étudier  les solution d’avenir pour son établissement, pour son service ou tout simplement pour sa carrière. La recherche  de solution au problème  de santé  et  le bien être martèle Cheick Oumar Dembélé, par  les professionnels  de santé  et leurs partenaires, cadre bien avec  la vision  du département  de la  santé  et  des affaires sociales du Mali. Les grandes réformes engagées depuis un certains temps vont dans ce sens. A souhaité  des débats francs et  courtois pour  la promotion  de  la santé  et le bien être  des gens.tre  des gens. Pour  terminer, il a rassuré  les organisateurs  de l’accompagnement  et disponibilité   du ministère  de la santé  et  des affaires sociales à leurs côtés pour la pérennisation  de cette activité dans les années à venir.  Pendant  trois jours, les thèmes entre autres, ont été débattus : « l’industrie  et partenariat  en Afrique », « les sciences technologiques et l’innovation » ; « la santé  et  le bien être »  le « forum professionnel », etc.

A rappelé  que plus  d’une cinquantaine  de  stands ont exposés lors  de  cette première  édition. Les  exposants étaient  les laboratoires pharmaceutiques et parapharmaceutiques, optique  et  Lunetterie, institutions et organismes, société d’importation  ou  de  vente  en gros, fournisseurs  de  matériels  et  de produits d’analyse et  de laboratoire, professionnels  de  l’évacuation  sanitaire, agenceurs, promoteurs d’images dans  le  secteur, assureurs, formateurs en santé, banques. « C’est un nouveau bébé qu’il faut  accompagner pour   ses premiers pas, pour qu’il  devienne  grand pour rehausser  l’image du Mali au plan sous régional, africaine, et mondial. Mais cela  ne  peut  se  faire, sans participation massive », avaient  auparavant  souhaité  les  premiers intervenants. Hadama B. Fofana

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