Le chef de piquet de la base aérienne de Sevaré, le sergent-chef Boubacar Coulibaly a disparu, le mardi dernier, avec 04 PM garnis. Des particuliers auraient plusieurs crédits impayés avec lui. Ce qui serait, selon nos sources, les raisons de sa fuite.
« Bocar paresseux », ce nom attribué au sergent-chef Boubacar Coulibaly par ses camarades suffit pour savoir quel genre d’individu est ce sous-officier de l’armée de l’air en service à Sevaré. Pour une deuxième fois, il vient de commettre un acte peu orthodoxe qui pouvait conduire à sa radiation des effectifs de l’armée. En effet, étant chef de piquet de la base aérienne de Sevaré, le sergent-chef Boubacar Coulibaly a disparu, dans la nuit du mardi 17 mars 2020, avec 04 PM dont le sien et 02 caissettes de 7,62 MM. Son absence, selon notre source, a été constatée hier matin.
Joint par téléphone, certaines sources proches de la base aérienne de Sevaré nous ont confirmé l’information. Elles affirment même que le sergent-chef appelé « Bocar paresseux » par ses camarades de classe de 2001, avait déjà déserté en 2012. « Ce n’est pas la première fois que Bocar déserte. Il l’a fait en 2012. Il avait là aussi des crédits impayés à son encontre. C’est après des négociations qu’il a réintégré l’armée. Et après son retour, il a volé une moto », nous informe notre source qui précise que le sergent-chef Coulibaly n’avait pas fui avec des armes en 2012. Cette fois-ci, la même source indique que le chef de piquet de la base aérienne de Sevaré a beaucoup de crédits impayés.
Selon une autre source, le joli nom « Bocar paresseux » est attribué au sergent-chef Boubacar Coulibaly par ses camarades de classe. Ce qui explique tout le manque de sérieux de ce jeune sous-officier qui vient de déserter, pour une deuxième fois, de l’armée.
« Bocar paresseux », ce nom attribué au sergent-chef Boubacar Coulibaly par ses camarades suffit pour savoir quel genre d’individu est ce sous-officier de l’armée de l’air en service à Sevaré. Pour une deuxième fois, il vient de commettre un acte peu orthodoxe qui pouvait conduire à sa radiation des effectifs de l’armée. En effet, étant chef de piquet de la base aérienne de Sevaré, le sergent-chef Boubacar Coulibaly a disparu, dans la nuit du mardi 17 mars 2020, avec 04 PM dont le sien et 02 caissettes de 7,62 MM. Son absence, selon notre source, a été constatée hier matin.
Joint par téléphone, certaines sources proches de la base aérienne de Sevaré nous ont confirmé l’information. Elles affirment même que le sergent-chef appelé « Bocar paresseux » par ses camarades de classe de 2001, avait déjà déserté en 2012. « Ce n’est pas la première fois que Bocar déserte. Il l’a fait en 2012. Il avait là aussi des crédits impayés à son encontre. C’est après des négociations qu’il a réintégré l’armée. Et après son retour, il a volé une moto », nous informe notre source qui précise que le sergent-chef Coulibaly n’avait pas fui avec des armes en 2012. Cette fois-ci, la même source indique que le chef de piquet de la base aérienne de Sevaré a beaucoup de crédits impayés.
Selon une autre source, le joli nom « Bocar paresseux » est attribué au sergent-chef Boubacar Coulibaly par ses camarades de classe. Ce qui explique tout le manque de sérieux de ce jeune sous-officier qui vient de déserter, pour une deuxième fois, de l’armée.
B. Guindo
Source : LE PAYS
