Les membres de la Convergence des Forces Républicaines (CFR) ont tenu, un point de presse, le jeudi 18 juin au Mémorial Modibo Kéïta, au cours duquel, ils se sont montrés hostiles à la destitution des Institutions du Pays. C’était sous l’égide de son coordinateur général, Cheick Oumar Gadjigo.
Les membres de la Convergence des Forces Républicaines (CFR) se disent engager pour défendre la République et le Mali. C’est pourquoi ils mettent, en garde contre toute tentative de déstabilisation des institutions du pays. Sans citer de noms, ils s’adressent directement au Mouvement du 5 juin-Rassemblement des Forces Patriotiques (M5-RFP), qui a appelé à une manifestation le vendredi 19 juin pour demander la démission du président de la République et de celle de son régime.
« Non à la banalisation des institutions de la République», a déclaré l’ancien ministre Amadou Koïta, président du Parti Socialiste Yélen Kura (PS Yelen Kura), qui se dit prêt à défendre le régime jusqu’à la dernière goutte de son sang. Un soutien qui équivaut, selon lui, à la défense des Institutions de la République.
Sans pour autant nier l’existence des problèmes dans le pays, l’ancien porte-parole du gouvernement estime toutefois qu’ils ne doivent pas être utilisés comme fonds de commerce par certains afin de manipuler le peuple. « Nous n’accepterons pas », a-t-il pesté avant d’inviter les contestateurs du régime à attendre 2023.
Il a pour cela rappelé les dispositions de l’article 121 de la Constitution qui stipule que « le fondement de tout pouvoir en République du Mali réside dans la Constitution ». Dans la foulée, Fatoumata Sacko dite Djina a indiqué que les urnes constituent la seule voie pour accéder au pouvoir. Décidée de répondre désormais coup pour coup, elle se dit prête à défendre le régime jusqu’au sacrifice ultime. Car martèle-t-elle, « trop c’est trop ».
Dans une déclaration finale lue par son coordinateur, Cheick Tidiane Gadjigo, la CFR dit prendre acte de l’autorisation accordée par le gouverneur du district de Bamako pour l’organisation du meeting prévu le vendredi 19 juin au monument de l’Indépendance. Cependant, la CFR attire l’attention des organisateurs sur leur responsabilité afin d’éviter tout débordement préjudiciable à la quiétude des paisibles citoyens et à la préservation de leurs biens.
Abdrahamane SISSOKO
Source: Maliweb.net
Les membres de la Convergence des Forces Républicaines (CFR) se disent engager pour défendre la République et le Mali. C’est pourquoi ils mettent, en garde contre toute tentative de déstabilisation des institutions du pays. Sans citer de noms, ils s’adressent directement au Mouvement du 5 juin-Rassemblement des Forces Patriotiques (M5-RFP), qui a appelé à une manifestation le vendredi 19 juin pour demander la démission du président de la République et de celle de son régime.
« Non à la banalisation des institutions de la République», a déclaré l’ancien ministre Amadou Koïta, président du Parti Socialiste Yélen Kura (PS Yelen Kura), qui se dit prêt à défendre le régime jusqu’à la dernière goutte de son sang. Un soutien qui équivaut, selon lui, à la défense des Institutions de la République.
Sans pour autant nier l’existence des problèmes dans le pays, l’ancien porte-parole du gouvernement estime toutefois qu’ils ne doivent pas être utilisés comme fonds de commerce par certains afin de manipuler le peuple. « Nous n’accepterons pas », a-t-il pesté avant d’inviter les contestateurs du régime à attendre 2023.
Il a pour cela rappelé les dispositions de l’article 121 de la Constitution qui stipule que « le fondement de tout pouvoir en République du Mali réside dans la Constitution ». Dans la foulée, Fatoumata Sacko dite Djina a indiqué que les urnes constituent la seule voie pour accéder au pouvoir. Décidée de répondre désormais coup pour coup, elle se dit prête à défendre le régime jusqu’au sacrifice ultime. Car martèle-t-elle, « trop c’est trop ».
Dans une déclaration finale lue par son coordinateur, Cheick Tidiane Gadjigo, la CFR dit prendre acte de l’autorisation accordée par le gouverneur du district de Bamako pour l’organisation du meeting prévu le vendredi 19 juin au monument de l’Indépendance. Cependant, la CFR attire l’attention des organisateurs sur leur responsabilité afin d’éviter tout débordement préjudiciable à la quiétude des paisibles citoyens et à la préservation de leurs biens.
Abdrahamane SISSOKO
Source: Maliweb.net
