Comme annoncé par le gouvernement, la reprise des cours était prévue pour le 1er septembre 2020. Une date officielle que les établissements privés ont respectée en procédant à la réouverture des classes malgré l’observation du mot d’ordre de grève par les Syndicats de l’Education signataires du 15 octobre. Une reprise faiblement observée, car beaucoup d’enseignants disent observer le mot d’ordre de grève. Une situation qui va paralyser davantage l’école malienne qui depuis quelques années est victime de ces grèves incessantes.
Beaucoup d’écoles privées ont repris les cours pour achever l’année académique 2019-2020, le mardi 1er septembre 2020. Une décision qui n’a pas l’unanimité, car les établissements publics restent toujours fermés à cause du mot d’ordre de grève des Syndicats de l’Education signataires du 15 octobre au sujet de l’application des dispositions de de l’article 39.
Cette reprise au niveau des écoles privées intervient après quelques mois d’arrêt des cours à cause de la pandémie de la Covid-19 et les grèves des enseignants. Une reprise pas effective même dans certains de ces établissements privés. A préciser que cette reprise des établissements privés concerne les classes des primaires de la 1ère à la 8e année et les secondaires c’est-à-dire les 10e et les 11e , ainsi les classes d’examen n’y sont pas concernées. Les cours pour ces classes d’examen sont également arrêtés dans beaucoup d’établissements privés depuis l’annonce du report des dates des examens à cause encore des enseignants grévistes .
Cependant, les établissements publics n’ont pas été au rendez-vous de cette reprise des cours, car les professeurs ainsi que leurs administrateurs disent observer le mot d’ordre de grève des Syndicats de l’Education signataires du 15 octobre 2016.
A Kati les établissements publics sont fermés depuis l’annonce du mot d’ordre de grève par les Syndicats des enseignants. Face à cette situation qui ne fera que paralyser davantage l’Ecole malienne et compromettre l’avenir des enfants, certains parents d’élèves déplorent l’insouciance des enseignants grévistes et des dirigeants du pays. Pour beaucoup d’entre eux il est temps que les deux parties acceptent de faire des concessions et penser à l’avenir des enfants maliens. « Tout sauf une année blanche » clament d’autres parents d’élèves.
A signaler que le mardi dernier, le Secrétaire général du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kinane Ag Gadéda avait rencontré les responsables d’Institutions d’Enseignement Supérieur (IES), les universités et les directeurs des grandes écoles mais aussi des instituts de formation pour leur instruire de prendre les dispositions pour une bonne reprise des activités au niveau des enseignements supérieurs et de la recherche scientifique le 14 septembre prochain tout en leur expliquant qu’un accent particulier doit être mis sur les mesures barrières contre la maladie à Coronavirus.
Par Maïmouna Sidibé
Source: Le Sursaut
Beaucoup d’écoles privées ont repris les cours pour achever l’année académique 2019-2020, le mardi 1er septembre 2020. Une décision qui n’a pas l’unanimité, car les établissements publics restent toujours fermés à cause du mot d’ordre de grève des Syndicats de l’Education signataires du 15 octobre au sujet de l’application des dispositions de de l’article 39.
Cette reprise au niveau des écoles privées intervient après quelques mois d’arrêt des cours à cause de la pandémie de la Covid-19 et les grèves des enseignants. Une reprise pas effective même dans certains de ces établissements privés. A préciser que cette reprise des établissements privés concerne les classes des primaires de la 1ère à la 8e année et les secondaires c’est-à-dire les 10e et les 11e , ainsi les classes d’examen n’y sont pas concernées. Les cours pour ces classes d’examen sont également arrêtés dans beaucoup d’établissements privés depuis l’annonce du report des dates des examens à cause encore des enseignants grévistes .
Cependant, les établissements publics n’ont pas été au rendez-vous de cette reprise des cours, car les professeurs ainsi que leurs administrateurs disent observer le mot d’ordre de grève des Syndicats de l’Education signataires du 15 octobre 2016.
A Kati les établissements publics sont fermés depuis l’annonce du mot d’ordre de grève par les Syndicats des enseignants. Face à cette situation qui ne fera que paralyser davantage l’Ecole malienne et compromettre l’avenir des enfants, certains parents d’élèves déplorent l’insouciance des enseignants grévistes et des dirigeants du pays. Pour beaucoup d’entre eux il est temps que les deux parties acceptent de faire des concessions et penser à l’avenir des enfants maliens. « Tout sauf une année blanche » clament d’autres parents d’élèves.
A signaler que le mardi dernier, le Secrétaire général du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kinane Ag Gadéda avait rencontré les responsables d’Institutions d’Enseignement Supérieur (IES), les universités et les directeurs des grandes écoles mais aussi des instituts de formation pour leur instruire de prendre les dispositions pour une bonne reprise des activités au niveau des enseignements supérieurs et de la recherche scientifique le 14 septembre prochain tout en leur expliquant qu’un accent particulier doit être mis sur les mesures barrières contre la maladie à Coronavirus.
Par Maïmouna Sidibé
Source: Le Sursaut