La société Aminata Konaté communément appelée ‘’Baramuso’’, naviguant sur le succès de son agressivité commerciale et de son marketing de mauvais aloi, semble ne plus se soucier de la qualité hygiénique de certains de ses produits sur le marché à grande consommation. Ces produits, tels que la poudre d’oignons, la poudre de gombo, la poudre de fakoye et d’autres, à cause des corps étrangers, des débris sableux surtout qu’ils contiennent sont sources de nombreux dangers pour les consommateurs locaux. Après notre première publication sur les abus de cette société, certains consommateurs ont tenu à nous faire partager leur mésaventure après la consommation des produits ‘’Baramuso’’.
Mme Dembélé Mariam Sangaré ménagère : « Actuellement je ne l’utilise plus les produits ‘’Baramuso’’, par ce qu’ils ne sont plus propres, il y a du sable dedans »
« Avant j’utilisais les produits de la société Baramuso, comme les poudres d’oignons, soumbala, poivre et autres. Malis actuellement je ne l’utilise plus, par ce qu’ils ne sont plus propres, il y a du sable dedans. Avant c’était bien emballé, naturellement à vue d’œil on savait que c’était hygiénique. Maintenant ce n’est plus le cas.
Comme conseil je dis à cette société de revoir leur manière de travailler pour le bien être de la population, parce que beaucoup de femmes utilisent ces produits soit disant que local et rapide dans les repas familiaux.
J’invite mes sœurs de laisser la paresse et de retourner à nos sources, c’est-à-dire à nos produits locaux, qu’on peut les préparer à notre guise proprement et sans mélange ».
Mme Sidibé Maïmouna Traoré restauratrice : « Ces produits contiennent du sable et souvent on a du mal à s’entendre avec nos clients
« Ce que je pense de l’utilisation des produits ‘’Nanfé’’ de Baramuso, avant c’était de la bonne qualité, une référence dans nos cuisines. C’était une initiative permettant aux ménagères d’avoir facilement et instantanément tous les produits alimentaires dont elles en avaient besoin. Mais aujourd’hui le ‘’Fakoye’’ qu’on achète ne rend plus la sauce concentrée. Ces produits contiennent du sable et souvent on a du mal à s’entendre avec nos clients, car pour certains, il s’agit de notre faute. Alors qu’on y est pour rien. Nous-mêmes nous les achetons en gros, pour éviter chaque fois de se rendre aux marchés. Normalement cette société devrait être le bonheur de la population plus particulièrement les femmes, surtout celles qui évoluent dans la restauration, plutôt qu’une source de mésentente entre nous et nos clients ».
Modibo Haïdara Imam : « Il n’y a plus un seul sachet de Baramusso qui traîne chez moi, car j’ai formellement interdit toute consommation de ces produits »
« Avant, ma femme utilisait les produits ‘’Baramuso’’ sans que je ne le sache. On a eu des différends à cause de ça, car j’ai commencé à remarquer du sable dans sa sauce chaque fois qu’elle me préparait du ‘’Fakoye Baramuso’’.Même chose aussi pour le poivre qui colore et dénature la sauce d’oignons qu’elle me donnait. C’était comme si on venait de mettre quelque chose pour m’envouter. Aujourd’hui, il n’y a plus un seul sachet de ‘’Baramusso’’ qui traine chez moi, car j’ai formellement interdit toute consommation de ces produits. Je crois que le message a été très bien compris par ma femme, qui songe à la bonne santé de son mari et de toute la famille. Je ne vais jamais tolérer qu’on s’amuse avec la santé de mes enfants ».
A suivre d’autres témoignages plus poignants dans nos prochaines livraisons.
Par Fatoumata Coulibaly
Source: Le Sursaut
Mme Dembélé Mariam Sangaré ménagère : « Actuellement je ne l’utilise plus les produits ‘’Baramuso’’, par ce qu’ils ne sont plus propres, il y a du sable dedans »
« Avant j’utilisais les produits de la société Baramuso, comme les poudres d’oignons, soumbala, poivre et autres. Malis actuellement je ne l’utilise plus, par ce qu’ils ne sont plus propres, il y a du sable dedans. Avant c’était bien emballé, naturellement à vue d’œil on savait que c’était hygiénique. Maintenant ce n’est plus le cas.
Comme conseil je dis à cette société de revoir leur manière de travailler pour le bien être de la population, parce que beaucoup de femmes utilisent ces produits soit disant que local et rapide dans les repas familiaux.
J’invite mes sœurs de laisser la paresse et de retourner à nos sources, c’est-à-dire à nos produits locaux, qu’on peut les préparer à notre guise proprement et sans mélange ».
Mme Sidibé Maïmouna Traoré restauratrice : « Ces produits contiennent du sable et souvent on a du mal à s’entendre avec nos clients
« Ce que je pense de l’utilisation des produits ‘’Nanfé’’ de Baramuso, avant c’était de la bonne qualité, une référence dans nos cuisines. C’était une initiative permettant aux ménagères d’avoir facilement et instantanément tous les produits alimentaires dont elles en avaient besoin. Mais aujourd’hui le ‘’Fakoye’’ qu’on achète ne rend plus la sauce concentrée. Ces produits contiennent du sable et souvent on a du mal à s’entendre avec nos clients, car pour certains, il s’agit de notre faute. Alors qu’on y est pour rien. Nous-mêmes nous les achetons en gros, pour éviter chaque fois de se rendre aux marchés. Normalement cette société devrait être le bonheur de la population plus particulièrement les femmes, surtout celles qui évoluent dans la restauration, plutôt qu’une source de mésentente entre nous et nos clients ».
Modibo Haïdara Imam : « Il n’y a plus un seul sachet de Baramusso qui traîne chez moi, car j’ai formellement interdit toute consommation de ces produits »
« Avant, ma femme utilisait les produits ‘’Baramuso’’ sans que je ne le sache. On a eu des différends à cause de ça, car j’ai commencé à remarquer du sable dans sa sauce chaque fois qu’elle me préparait du ‘’Fakoye Baramuso’’.Même chose aussi pour le poivre qui colore et dénature la sauce d’oignons qu’elle me donnait. C’était comme si on venait de mettre quelque chose pour m’envouter. Aujourd’hui, il n’y a plus un seul sachet de ‘’Baramusso’’ qui traine chez moi, car j’ai formellement interdit toute consommation de ces produits. Je crois que le message a été très bien compris par ma femme, qui songe à la bonne santé de son mari et de toute la famille. Je ne vais jamais tolérer qu’on s’amuse avec la santé de mes enfants ».
A suivre d’autres témoignages plus poignants dans nos prochaines livraisons.
Par Fatoumata Coulibaly
Source: Le Sursaut