A défaut de leur mettre à la disposition de la justice, la Cour Suprême du Mali et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) somment les militaires du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) de procéder à la libération immédiate des personnalités arrêtées depuis le 18 août, date du coup d’Etat.
La Cour Suprême du Mali et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) rappellent les militaires du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) à l’ordre. Les deux institutions somment la junte au pouvoir de libérer immédiatement les personnalités arrêtées depuis le coup d’état ou de les mettre à la disposition de la justice.
La délégation de la CEDEAO conduite par le médiateur de la crise malienne, l’ancien président du Nigéria, Goudluck Ebélé Jonatham, en mission au Mali, se dit fortement préoccupée de la situation des personnalités civiles et militaires de l’ancien régime en détention depuis le 18 août 2020. La Mission, dans un communiqué daté du 25 septembre, insiste sur la libération urgente de ces personnalités conformément aux décisions des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Même son de cloche chez l’avocat général de la Cour Suprême du Mali, Boya Dembélé, qui a rappelé les dispositions de la Constitution. Selon lui, nul Nul ne peut être détenu pendant une durée supérieure à quarante huit heures que par décision motivée d’un Magistrat de l’ordre judiciaire. C’est pourquoi, il a demandé au président et au vice-président de la transition qui ont juré de respecter et de faire respecter la Constitution et les Lois, de libérer ou de mettre à la disposition de la justice les personnalités arrêtées sous peine d’être accusé de parjure ou de haute trahison, tous punis par la Loi au Mali.
Il faut rappeler qu’une vingtaine de personnalités sont détenues depuis le 18 août, date du renversement du régime d’IBK par les militaires.
La Cour Suprême du Mali et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) rappellent les militaires du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) à l’ordre. Les deux institutions somment la junte au pouvoir de libérer immédiatement les personnalités arrêtées depuis le coup d’état ou de les mettre à la disposition de la justice.
La délégation de la CEDEAO conduite par le médiateur de la crise malienne, l’ancien président du Nigéria, Goudluck Ebélé Jonatham, en mission au Mali, se dit fortement préoccupée de la situation des personnalités civiles et militaires de l’ancien régime en détention depuis le 18 août 2020. La Mission, dans un communiqué daté du 25 septembre, insiste sur la libération urgente de ces personnalités conformément aux décisions des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Même son de cloche chez l’avocat général de la Cour Suprême du Mali, Boya Dembélé, qui a rappelé les dispositions de la Constitution. Selon lui, nul Nul ne peut être détenu pendant une durée supérieure à quarante huit heures que par décision motivée d’un Magistrat de l’ordre judiciaire. C’est pourquoi, il a demandé au président et au vice-président de la transition qui ont juré de respecter et de faire respecter la Constitution et les Lois, de libérer ou de mettre à la disposition de la justice les personnalités arrêtées sous peine d’être accusé de parjure ou de haute trahison, tous punis par la Loi au Mali.
Il faut rappeler qu’une vingtaine de personnalités sont détenues depuis le 18 août, date du renversement du régime d’IBK par les militaires.
La rédaction
Mandeinfos.com