A cet effet, trois interventions se sont succédées, respectivement, l’allocution du Vice-président de la Cour Suprême, le rapport du Procureur Général de la Cour Suprême, la plaidoirie du Bâtonnier de l’Ordre des Avocats suivies du discours de clôture de la cérémonie par le Président de la Transition, SEM Bah N’DAW, Chef de l’État, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature.
A travers cette judicieuse programmation, la nécessité de la restriction des libertés publiques dans le contexte actuel, s’impose à plus d’un titre, et les débats autour de la liberté d’expression, l »impunité, les concepts et notions de garde à vue, de promptitude de mandat de dépôt, du respect des dispositifs de la Constitution, des lois et droits de l’Homme étaient le centre d’intérêt de cette Rentrée des Cours et des tribunaux dont la thématique fût chaleureusement accueillie par le Président N’DAW.
Dans son intervention, le Chef de l’État conforte et consolide le respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, pour la nécessité de bâtir un véritable État de droit pour le bonheur du peuple Malien.
A travers cette judicieuse programmation, la nécessité de la restriction des libertés publiques dans le contexte actuel, s’impose à plus d’un titre, et les débats autour de la liberté d’expression, l »impunité, les concepts et notions de garde à vue, de promptitude de mandat de dépôt, du respect des dispositifs de la Constitution, des lois et droits de l’Homme étaient le centre d’intérêt de cette Rentrée des Cours et des tribunaux dont la thématique fût chaleureusement accueillie par le Président N’DAW.
Dans son intervention, le Chef de l’État conforte et consolide le respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, pour la nécessité de bâtir un véritable État de droit pour le bonheur du peuple Malien.