Pour un changement réel de la gouvernance au Mali, il urge que la prochaine élection présidentielle fasse émerger une personnalité appréciée de la majorité des Maliens, non pas par achat de conscience, mais pour son patriotisme et sa compétence.
Dans certaines de ses sorties médiatiques, le président du Congrès national d’initiative démocratique (CNID-FYT) Me Mountaga Tall, mettait en garde sur le rôle de plus en plus important que l’argent jouait dans les élections au Mali. « Si nous ne prenons pas garde, dans les prochaines années, un narcotrafiquant sera élu et installé à Koulouba », alertait-il.
L’occasion de la Transition est une belle opportunité pour que le Mali reparte sur de bonnes bases électorales. Car, le problème malien (les multiples crises) est surtout lié à sa gouvernance. Et la gouvernance est du rôle des dirigeants du pays. Et le premier dirigeant est issu de l’élection présidentielle.
Il est donc vitale que les autorités de la Transition et toutes les forces vives du pays fassent en sorte que les cris de déception du genre « anfili la » (nous nous sommes trompés) qui ont été entendus au sein de l’opinion à partir de 2014, sous IBK, ne puissent plus résonner sur les bords du Djoliba.
En effet, il n’est pas compréhensible que les électeurs, en cette ère de connaissance et d’informations, se fassent encore duper pour se morfondre dans des cris de regret, après avoir voté pour un dirigeant.
Il faut que les électeurs maliens acquièrent une culture politique et de citoyenneté pour distinguer le vrai de l’ivraie ? Cela passera par une éducation à la citoyenneté afin de résister à la tentative des achats de conscience. « Aucun vendeur d’illusion ne doit jouer avec le destin de tout un peuple en lui débitant de promesses irréalistes, des discours populistes et excitants du genre « le Mali d’abord, l’honneur du Mali, le bonheur des Maliens, le Mali, notre seul souci, tolérance zéro, impunité zéro, etc ».
Il est surtout urgent de faire tout ce qui est possible pour que l’argent ne soit plus l’élément déterminant dans le choix à porter sur un candidat à la présidence de la République. Si ce n’est pas le cas, le peuple malien va courir le risque de voir le pays brader et livrer aux mains de potentiels bailleurs de fonds de ce nouveau dirigeant.
Par ces temps, il est reconnu que le pays fait l’objet de nombre de convoitises au plan international, les acteurs politiques et la classe dirigeante actuelle doit tout mettre en œuvre pour que le cadre législatif futur proscrive absolument l’utilisation outrancière de l’argent dans la campagne électorale et aussi le jour du scrutin présidentiel.
Boubou SIDIBE
Source: Maliweb.net
Dans certaines de ses sorties médiatiques, le président du Congrès national d’initiative démocratique (CNID-FYT) Me Mountaga Tall, mettait en garde sur le rôle de plus en plus important que l’argent jouait dans les élections au Mali. « Si nous ne prenons pas garde, dans les prochaines années, un narcotrafiquant sera élu et installé à Koulouba », alertait-il.
L’occasion de la Transition est une belle opportunité pour que le Mali reparte sur de bonnes bases électorales. Car, le problème malien (les multiples crises) est surtout lié à sa gouvernance. Et la gouvernance est du rôle des dirigeants du pays. Et le premier dirigeant est issu de l’élection présidentielle.
Il est donc vitale que les autorités de la Transition et toutes les forces vives du pays fassent en sorte que les cris de déception du genre « anfili la » (nous nous sommes trompés) qui ont été entendus au sein de l’opinion à partir de 2014, sous IBK, ne puissent plus résonner sur les bords du Djoliba.
En effet, il n’est pas compréhensible que les électeurs, en cette ère de connaissance et d’informations, se fassent encore duper pour se morfondre dans des cris de regret, après avoir voté pour un dirigeant.
Il faut que les électeurs maliens acquièrent une culture politique et de citoyenneté pour distinguer le vrai de l’ivraie ? Cela passera par une éducation à la citoyenneté afin de résister à la tentative des achats de conscience. « Aucun vendeur d’illusion ne doit jouer avec le destin de tout un peuple en lui débitant de promesses irréalistes, des discours populistes et excitants du genre « le Mali d’abord, l’honneur du Mali, le bonheur des Maliens, le Mali, notre seul souci, tolérance zéro, impunité zéro, etc ».
Il est surtout urgent de faire tout ce qui est possible pour que l’argent ne soit plus l’élément déterminant dans le choix à porter sur un candidat à la présidence de la République. Si ce n’est pas le cas, le peuple malien va courir le risque de voir le pays brader et livrer aux mains de potentiels bailleurs de fonds de ce nouveau dirigeant.
Par ces temps, il est reconnu que le pays fait l’objet de nombre de convoitises au plan international, les acteurs politiques et la classe dirigeante actuelle doit tout mettre en œuvre pour que le cadre législatif futur proscrive absolument l’utilisation outrancière de l’argent dans la campagne électorale et aussi le jour du scrutin présidentiel.
Boubou SIDIBE
Source: Maliweb.net