La lutte contre le terrorisme dans le nord du Mali où des échanges d’informations et patrouilles communes sont mises en œuvre. Les forces alliées sur le terrain mutualisent de plus en plus leurs efforts pour combattre le terrorisme. C’est le cas à Tessalit où cohabitent forces françaises Barkhane, casques bleus de l’ONU et Forces armées maliennes.
Avec notre envoyé spécial à Tessalit, Serge Daniel
Après avoir passé la nuit dans le camp de la mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Tessalit, s’en est suivie une visite matinale des camps des armées malienne et française. Les deux camps sont côte à côte. Au camp des troupes maliennes, les véhicules roulent sur une latérite, une route non bitumée. L’eau et l’électricité sont fournies par les forces alliées.
Bonne collaboration
Le commandant des troupes maliennes prend la parole : « À l’heure où je vous parle, nous faisons trois sections ici. Pour les missions, nous partageons la mission de sécurité avec les forces partenaires qui sont là, forces avec lesquelles nous collaborons très bien ».
Les militaires maliens que nous avons vus sur place sont plutôt jeunes. A côté de leur camp, le camp Barkhane. Un capitaine français détaille : « Ici, vous avez deux principaux types de menaces. La première ce sont les IED [engins explosifs improvisés] ; la deuxième, il y a la roquette longue distance. À chaque fois, on prévient les partenaires pour voir dans quelle mesure on peut se coordonner ».
En visite sur place, Mohamed Mahamat Saleh Annadif, le représentant de la Minusma au Mali, interroge: « Je reçois toujours les alertes après que la chose s’est produite, qu’est-ce qui se passe ? »
« Marquer des points contre le terrorisme »
L’officier français répond, donne des détails, insiste, encore une fois, sur la bonne collaboration entre les forces alliées qui « a permis de marquer des points contre le terrorisme », dit-il
Source: RFI
Avec notre envoyé spécial à Tessalit, Serge Daniel
Après avoir passé la nuit dans le camp de la mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Tessalit, s’en est suivie une visite matinale des camps des armées malienne et française. Les deux camps sont côte à côte. Au camp des troupes maliennes, les véhicules roulent sur une latérite, une route non bitumée. L’eau et l’électricité sont fournies par les forces alliées.
Bonne collaboration
Le commandant des troupes maliennes prend la parole : « À l’heure où je vous parle, nous faisons trois sections ici. Pour les missions, nous partageons la mission de sécurité avec les forces partenaires qui sont là, forces avec lesquelles nous collaborons très bien ».
Les militaires maliens que nous avons vus sur place sont plutôt jeunes. A côté de leur camp, le camp Barkhane. Un capitaine français détaille : « Ici, vous avez deux principaux types de menaces. La première ce sont les IED [engins explosifs improvisés] ; la deuxième, il y a la roquette longue distance. À chaque fois, on prévient les partenaires pour voir dans quelle mesure on peut se coordonner ».
En visite sur place, Mohamed Mahamat Saleh Annadif, le représentant de la Minusma au Mali, interroge: « Je reçois toujours les alertes après que la chose s’est produite, qu’est-ce qui se passe ? »
« Marquer des points contre le terrorisme »
L’officier français répond, donne des détails, insiste, encore une fois, sur la bonne collaboration entre les forces alliées qui « a permis de marquer des points contre le terrorisme », dit-il
Source: RFI