Le défi majeur du Mali, c’est l’instauration d’une démocratie véritable et le recours à un modèle économique qui nous permettrait de gérer l’après-crise. Il faut récupérer l’école et former des ressources humaines compétentes, rétablir la justice, promouvoir notre potentiel agricole, encourager le développement d’industries stratégiques et des services créateurs d’emplois et de valeurs ajoutées et surtout, redonner l’espoir à nos jeunes. il y a un prix à payer que le peuple va exiger avant d’accepter de se serrer la ceinture: il faut lui rendre justice en faisant la lumière sur tous les scandales et les actes de corruption et de trahison du clan au pouvoir et de leurs complices depuis 1991.
Les crimes de corruption sont imprescriptibles et régis par des accords internationaux. Il faudra juger et condamner ces criminels pour pouvoir saisir leurs biens.
Je recommande de créer un tribunal révolutionnaire dont la mission serait d’enquêter sur les crimes économiques, d’identifier les traîtres à la nation et de récupérer les milliards qui ont été détournés.
C’est la seule et unique recette pour éviter dans 2 ou 3 ans la guerre civile programmée par l’accord d’Alger dont l’objectif reste « la sécurisation militaire » des futures installations minières dans le nord du Mali
Je recommande de créer un tribunal révolutionnaire dont la mission serait d’enquêter sur les crimes économiques, d’identifier les traîtres à la nation et de récupérer les milliards qui ont été détournés.
C’est la seule et unique recette pour éviter dans 2 ou 3 ans la guerre civile programmée par l’accord d’Alger dont l’objectif reste « la sécurisation militaire » des futures installations minières dans le nord du Mali
Source: Saga Diarrah
