Le président de FARE Anka Wuli, ancien premier ministre Modibo Sidibé, a appelé à l’union de tous afin de réussir la refondation tant attendue au Mali. C’était à l’occasion de l’une de ses tournées au Grin, en début de la semaine.
L’ancien premier ministre a tenu à préciser, tout d’abord, que la politique, contrairement à certaines interprétations, n’est autre que l’expression d’une volonté de gérer son pays.
Par conséquent, il a clairement indiqué qu’il n’est pas d’accord avec ceux qui veulent écarter les hommes politiques dans la construction d’un bon Etat.
Par ailleurs, il a dénoncé la transhumance de certains acteurs politiques au gré de leurs intérêts.
Si non veut faire de la politique de façon noble, selon lui, « on doit être capable de s’assumer et assumer son choix » a-t-il indiqué en ajoutant que ce sont eux qui ont dit que c’est possible de faire de la politique autrement et qu’ils ne peuvent pas revenir faire une autre chose qui va à l’encontre cette parole.
A ses dires, cette position n’a pas manqué de causer beaucoup de difficultés dans son parcours politique. «Beaucoup de contradictions, beaucoup de démissions. Mais je reste en paix avec ma conscience pour avoir toujours dit et maintenu ma position malgré certaines incompréhensions à l’époque », a-t-il indiqué.
Le président de Fare Anka Wuli a précisé que sa mission politique a toujours été d’obtenir une refondation pour enfin mettre fin à cette longue crise que vit le Mali depuis beaucoup d’années.
En effet, la circonstance actuelle du Mali impose l’union et l’engagement de tous ses fils, selon lui, sans aucune considération partisane pour enfin arrêter la saignée de la patrie. « Chaque jour les gens sont en train de mourir au nord et au centre du Mali pendant qu’ici, on continu à dire, je suis pour un tel, je suis contre un tel. Je suis pour la transition, je suis contre la transition. Une chose qui serait même normal si nous vivons dans un pays normal. Mais aujourd’hui, C’est l’existence même de notre Etat qui est menacée, d’où l’importance et la nécessité de nous réunir et de se donner la main pour sauver notre seule nation », a-t-il indiqué.
Issa Djiguiba
Source : LE PAYS
L’ancien premier ministre a tenu à préciser, tout d’abord, que la politique, contrairement à certaines interprétations, n’est autre que l’expression d’une volonté de gérer son pays.
Par conséquent, il a clairement indiqué qu’il n’est pas d’accord avec ceux qui veulent écarter les hommes politiques dans la construction d’un bon Etat.
Par ailleurs, il a dénoncé la transhumance de certains acteurs politiques au gré de leurs intérêts.
Si non veut faire de la politique de façon noble, selon lui, « on doit être capable de s’assumer et assumer son choix » a-t-il indiqué en ajoutant que ce sont eux qui ont dit que c’est possible de faire de la politique autrement et qu’ils ne peuvent pas revenir faire une autre chose qui va à l’encontre cette parole.
A ses dires, cette position n’a pas manqué de causer beaucoup de difficultés dans son parcours politique. «Beaucoup de contradictions, beaucoup de démissions. Mais je reste en paix avec ma conscience pour avoir toujours dit et maintenu ma position malgré certaines incompréhensions à l’époque », a-t-il indiqué.
Le président de Fare Anka Wuli a précisé que sa mission politique a toujours été d’obtenir une refondation pour enfin mettre fin à cette longue crise que vit le Mali depuis beaucoup d’années.
En effet, la circonstance actuelle du Mali impose l’union et l’engagement de tous ses fils, selon lui, sans aucune considération partisane pour enfin arrêter la saignée de la patrie. « Chaque jour les gens sont en train de mourir au nord et au centre du Mali pendant qu’ici, on continu à dire, je suis pour un tel, je suis contre un tel. Je suis pour la transition, je suis contre la transition. Une chose qui serait même normal si nous vivons dans un pays normal. Mais aujourd’hui, C’est l’existence même de notre Etat qui est menacée, d’où l’importance et la nécessité de nous réunir et de se donner la main pour sauver notre seule nation », a-t-il indiqué.
Issa Djiguiba
Source : LE PAYS