Le Président de la République, SEM Issoufou Mahamadou, Président en exercice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a présidé ce lundi, 7 septembre 2020.
Dans un discours d’ouverture devant ses pairs ouest africains, au Centre International des Conférences Mahatma Gandhi de Niamey, le Président Issoufou Mahamadou a indiqué qu’au cours de son mandat à la tête de la CEDEAO, il a mis l’accent « au moins sur trois domaines, les grandes priorités du moment, à savoir la sécurité régionale, la consolidation des institutions démocratiques et l’intégration économique. »
Sur le plan de l’intégration économique, les différents programmes ont souffert des effets de la pandémie à Covid 19, a dit le Chef de l’Etat.
« L’agenda de notre programme de monnaie unique a été modifié », a-t-il souligné, précisant que le présent sommet doit prendre en considération cette situation et élaborer une nouvelle feuille de route.
« L’occasion sera mise à profit pour clarifier la controverse née de l’annonce du lancement de l’Eco par les pays membres de l’UEMOA », a-t-il ajouté.
«De manière plus générale, notre sommet doit définir les orientations nécessaires pour l’élaboration d’un plan régional de relance économique post-COVID19, car tous les programmes ont été impactés négativement par la COVID 19 », a-t-il dit.
Le Président en exercice de la CEDEAO a également noté que « la crise sanitaire est venue s’ajouter, dans notre région, à une autre crise : la crise sécuritaire liée aux menaces des organisations terroristes et criminelles. »
En ce qui concerne la situation politique et sécuritaire au Mali, le Président Issoufou Mahamadou a rappelé les décisions prises par la CEDEAO lors des trois sommets virtuels sur ce pays.
« Le Mali a plus que jamais besoin de stabilité pour que les aspirations fortes du peuple Malien à la sécurité, au développement soient pleinement satisfaites. Il est du devoir de notre communauté d’assister les Maliens en vue d’un rétablissement rapide de toutes les institutions démocratiques. La junte militaire doit nous aider à aider le Mali. Nous fondons l’espoir qu’elle répondra favorablement aux mesures prises par notre communauté. D’autres partenaires stratégiques du peuple malien fondent le même espoir. Ne les décevons pas. », a-t-il affirmé.
Dans un discours d’ouverture devant ses pairs ouest africains, au Centre International des Conférences Mahatma Gandhi de Niamey, le Président Issoufou Mahamadou a indiqué qu’au cours de son mandat à la tête de la CEDEAO, il a mis l’accent « au moins sur trois domaines, les grandes priorités du moment, à savoir la sécurité régionale, la consolidation des institutions démocratiques et l’intégration économique. »
Sur le plan de l’intégration économique, les différents programmes ont souffert des effets de la pandémie à Covid 19, a dit le Chef de l’Etat.
« L’agenda de notre programme de monnaie unique a été modifié », a-t-il souligné, précisant que le présent sommet doit prendre en considération cette situation et élaborer une nouvelle feuille de route.
« L’occasion sera mise à profit pour clarifier la controverse née de l’annonce du lancement de l’Eco par les pays membres de l’UEMOA », a-t-il ajouté.
«De manière plus générale, notre sommet doit définir les orientations nécessaires pour l’élaboration d’un plan régional de relance économique post-COVID19, car tous les programmes ont été impactés négativement par la COVID 19 », a-t-il dit.
Le Président en exercice de la CEDEAO a également noté que « la crise sanitaire est venue s’ajouter, dans notre région, à une autre crise : la crise sécuritaire liée aux menaces des organisations terroristes et criminelles. »
En ce qui concerne la situation politique et sécuritaire au Mali, le Président Issoufou Mahamadou a rappelé les décisions prises par la CEDEAO lors des trois sommets virtuels sur ce pays.
« Le Mali a plus que jamais besoin de stabilité pour que les aspirations fortes du peuple Malien à la sécurité, au développement soient pleinement satisfaites. Il est du devoir de notre communauté d’assister les Maliens en vue d’un rétablissement rapide de toutes les institutions démocratiques. La junte militaire doit nous aider à aider le Mali. Nous fondons l’espoir qu’elle répondra favorablement aux mesures prises par notre communauté. D’autres partenaires stratégiques du peuple malien fondent le même espoir. Ne les décevons pas. », a-t-il affirmé.