Les responsables syndicaux rejettent cette initiative en laquelle ils ne voient aucune
efficacité dans les circonstances actuelles. Ils ont ordonné à leurs militants de ne pas participer à ce projet mort-né de cours à distance.
Dans une déclaration, les syndicats de l’éducation se démarquent de cette fuite en avant de l’État à laquelle ils n’ont pas été associés. Ils déplorent le caractère discriminatoire et inégal face aux droits des apprenants.
Aussi, les syndicats de la synergie ont alerté et dénoncé le blocage criminel de leurs salaires par le chef du gouvernement malien.
C’est une façon, poursuivent les syndicats de la synergie, de les humilier et de les vilipender. La cour suprême a été déjà saisie afin que la justice tranche cet acte de mépris indigne de tout responsable conscient.
Source : Figaro du Mali