Sur les ondes de certaines radios de la place, l’imam DICKO a réagi suite aux critiques des militants du M5-RFP qui ne veulent pas qu’il renonce à l’Appel à la démission du chef de l’État. Dans sa réaction, l’imam DICKO dit comprendre les uns et les autres :
‘’ il n’y a pas un lieu à Bamako où je n’ai pas été invité à parler aux gens pour ramener l’accalmie en cas de conflits quand j’étais à l’AMUPI et au Haut Conseil Islamique ; aujourd’hui ce sont les personnes que j’ai démarchées hier qui sont venues me voir pour me parler, je ne peux pas leur dire non’’.
De l’avis de Dicko, il n’est pas seul et il ne saurait prendre une décision. Cependant, il a indiqué que le Mali est un grand pays et il le demeurera. L’une des grandeurs du Mali réside selon lui dans notre sens du dialogue et voisinage et aussi en tant qu’imam
‘’ je me dois d’écouter et mon rôle n’est pas de créer le chaos. J’étais le président du Haut Conseil Islamique pendant 11ans, j’ai été pendant près de 20 ans, le secrétaire général de l’AMUPI. Pendant ces périodes, nous sommes intervenus dans plusieurs endroits pour parler aux gens. Aujourd’hui, ce sont ces personnes qui sont venues pour une résolution pacifique de la crise. Aussi des amis du Mali notamment la CEDEAO sont venus nous parler. Notre dignité nous oblige à écouter et puis nous ne pouvons pas les renvoyer sans les écouter. Donc que les gens se calment, notre ambition c’est de sauver le pays, et nous restons engagés pour l’atteinte de cet objectif. Nous ne sommes pas des destructeurs et nous ne souhaits à personne d’avoir un quelconque mal à plus forte raison un mal pour le pays ». L’imam DICKO a ajouté que le Président sera mis à l’épreuve pour voir s’il a réalisé les propositions qui lui ont été faites avant toute autre action.
Mahamane TOURÉ
NOUVEL HORIZON
‘’ il n’y a pas un lieu à Bamako où je n’ai pas été invité à parler aux gens pour ramener l’accalmie en cas de conflits quand j’étais à l’AMUPI et au Haut Conseil Islamique ; aujourd’hui ce sont les personnes que j’ai démarchées hier qui sont venues me voir pour me parler, je ne peux pas leur dire non’’.
De l’avis de Dicko, il n’est pas seul et il ne saurait prendre une décision. Cependant, il a indiqué que le Mali est un grand pays et il le demeurera. L’une des grandeurs du Mali réside selon lui dans notre sens du dialogue et voisinage et aussi en tant qu’imam
‘’ je me dois d’écouter et mon rôle n’est pas de créer le chaos. J’étais le président du Haut Conseil Islamique pendant 11ans, j’ai été pendant près de 20 ans, le secrétaire général de l’AMUPI. Pendant ces périodes, nous sommes intervenus dans plusieurs endroits pour parler aux gens. Aujourd’hui, ce sont ces personnes qui sont venues pour une résolution pacifique de la crise. Aussi des amis du Mali notamment la CEDEAO sont venus nous parler. Notre dignité nous oblige à écouter et puis nous ne pouvons pas les renvoyer sans les écouter. Donc que les gens se calment, notre ambition c’est de sauver le pays, et nous restons engagés pour l’atteinte de cet objectif. Nous ne sommes pas des destructeurs et nous ne souhaits à personne d’avoir un quelconque mal à plus forte raison un mal pour le pays ». L’imam DICKO a ajouté que le Président sera mis à l’épreuve pour voir s’il a réalisé les propositions qui lui ont été faites avant toute autre action.
Mahamane TOURÉ
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