INSATISFAITS DE LA PARTITION PROGRAMMÉE DU MALI, L’ONU ET LA FRANCE AUX TROUSSES DU MALI ?

Dans un rapport farfelus et insensé qui serait tenu secret, RFI nous annonce encore des balivernes sur des segments clés de la République, histoire de semer le doute dans la tête des maliens et de profiter de la faille. Les impérialistes ont toujours usé de cette méthode médiatique d’où la multiplication sans raison valable des relais de médias occidentaux en Afrique. Le but réel est de tenir l’opinion des pays africains avec leurs montages et de mieux manipuler leurs peuples par la désinfection. Cette vieille méthode des puissances étrangères ont fait que des pays nationalistes avertis ont toujours coupé le signal de RFI et de France 24 dans leur pays.

Venons en au cas actuel pour notre pays.

RFI annonce tôt ce samedi matin vers 6h30 que le patron de notre sécurité d’État et son adjoint bloquent la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation et qu’ils sont en complicité avec un réseau de drogues qui les payeraient mensuellement.

Des accusations à faire rêver débout ! On croirait, a entendre ces médias occidentaux, que Moussa Diawara et son adjoint sont des ennemis du Mali ou leurs propres ennemis ! C’est impossible à avaler. C’est même grottesque quand y réfléchi un peu car au contraire, c’est la sécurité d’État est la structure stratégique qui protège le pays des menaces à chaque instant et le jour que ça arriverait, le Mali va disparaitre. C’est comme quand ton garde du corps complote ton élimination, tu ne t’échapperais jamais !

Ces périgrinations des occidentaux sont farfelus à bien d’un titre :

1. Moussa Diawara qui jouit d’une grande confiance du président, y eugard à ses expériences professionnelles, est dans toutes les conditions financières inimaginables pour se suffir dans ses fonctions. Il est doté d’un grand budget et d’un confort dans le travail, le mettant à l’abri du besoin. Alors, pourquoi aller prendre des miettes avec des malfrats alors qu’il gèrent déjà un gros budget sainement ? C’est illogique quand on sait qu’il est n’est pas nécessiteux. Et ça tout le monde au Mali le sait.

2. Pour l’accord pour la paix et la réconciliation, si le Directeur Général de la Sécurité d’état empêche que cet accord qui sème la division du Mali et qui n’a jamais eu l’approbation du peuple malien, ne soit pas mis en oeuvre avant sa relecture demandée par le peuple du Mali et confirmée par le Dialogue National Inclusif (DNI), alors il scie de féliciter le patriote le Général Moussa Diawara pour son combat pour l’intérêt du peuple malien. En réalité, les Nations unies et la France qui ont savamment créé et soutenu les indépendantistes devenu la CMA aujourd’hui, mettent toujours la pression sur les autorités maliennes  pour accélérer la mise en œuvre de cet accord imposé au Mali et qui est un danger pour l’unité et l’intégrité territoriale du Mali. Alors le rôle de conseiller stratégique du Président de la République que joue Moussa Diawara dans ce dossier froisse la France et ses complices qui voient leur plan secret partir à l’eau. Alors pour eux,  il faut monter le peuple fragile du Mali contre cette structure stratégique et ses responsables alors que le Mali traverse une crise politique. Comme ça espèrent-ils, IBK cédera sur bien des points. Peine perdue.

3. Aussi, la France et les Nations unies sont farouchement opposées à l’imam Mohamoud Dicko et le M5 RFP dans leur lutte actuelle et ils vont jusqu’à les traiter de salafistes dans leurs médias. La recommandation des Nations unies et de la France aux autorités maliennes seraient de mater les leaders du M5 RFP pour les empêcher de s’exprimer pleinement conforment à la constitution. Certes, il ya eu des débordements le 10 juillet et jour suivant, mais, tant que le M5 RFP reste dans l’ordre constitutionnel, IBK ne veut s’attaquer à personne délibérément. C’est clair pour les Nations unies et la France qui espéraient mieux du Président IBK, que cette magnanimité en faveur du M5 RFP, est conseillée par l’intrépide Moussa Diawara pour que le problème se règle entre maliens. Voilà un autre grief des impérialistes contre les autorités maliennes. Mais on ne tombera pas dans le piège !

En clair, les Nations unies et la France sont entrain d’échouer dans leur plan de déstabilisation du Mali et l’une des sentinelles contre la partition programmée du Mali reste la DGSE. Voilà pourquoi, il faut abattre les responsables de cette structure et faire de notre nation ce qu’ils veulent.

AN TÈ SON ! ( ON NE SERA PAS D’ACCORD)

« NI AN LARA, AN SAARA ».

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