La synergie des syndicats de l’Education signataires de 15 octobre 2016 prévoit un arrêt de travail à partir de ce lundi 17 août. Elle proteste contre la tentative de modification de l’article 39 de la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant.
La synergie des syndicats de l’Education signataires du 15 Octobre 2016, dans le cadre de l’application de l’article 39 de la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant, dit constater avec indignation la volonté de certains responsables du Ministère de l’Education Nationale de tripatouiller le procès- verbal de conciliation du 17 juin dernier.
Les Syndicats des enseignants accusent le gouvernement d’avoir voulu modifier à leur insu la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant en abrogeant les dispositions de l’article 39 et la modification de la grille 2019 annexée à la Loi. Ils reprochent également à l’Etat d’introduire des modifications à l’article relatif à l’intégration du personnel non enseignant en classe.
Ce qui a irrité la synergie des syndicats de l’Education signataire du 15 octobre 2016. En réaction, celle-ci dans une lettre circulaire datée du 14 Aout demande la suspension de toutes les activités pédagogiques, l’immédiat des cours sur toute l’étendue du territoire nationale et la fermeture de toutes les structures de l’éducation nationale. Aussi, les syndicats des enseignants exigent que les coupables de cet acte soient identifiés et punis conformément aux lois en vigueur.
L’arrêt des activités pédagogiques par les enseignants arrivent à un très mauvais moment. Ce d’autant que les examens de fin d’année sont prévus dans quelques jours. Déjà les épreuves d’éducation physique et sportive du Diplôme d’Etude Fondamentale qui étaient prévues le samedi 15 août ont été reportées.
Il faut rappeler que c’est après de long mois de grève que le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, a instruit le 16 juin au Premier ministre d’appliquer l’article 39 de la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant. Ce qui avait à l’époque mis fin à la grève des enseignants et le retour des enfants à l’école.
Mandeinfos.com
Les Syndicats des enseignants accusent le gouvernement d’avoir voulu modifier à leur insu la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant en abrogeant les dispositions de l’article 39 et la modification de la grille 2019 annexée à la Loi. Ils reprochent également à l’Etat d’introduire des modifications à l’article relatif à l’intégration du personnel non enseignant en classe.
Ce qui a irrité la synergie des syndicats de l’Education signataire du 15 octobre 2016. En réaction, celle-ci dans une lettre circulaire datée du 14 Aout demande la suspension de toutes les activités pédagogiques, l’immédiat des cours sur toute l’étendue du territoire nationale et la fermeture de toutes les structures de l’éducation nationale. Aussi, les syndicats des enseignants exigent que les coupables de cet acte soient identifiés et punis conformément aux lois en vigueur.
L’arrêt des activités pédagogiques par les enseignants arrivent à un très mauvais moment. Ce d’autant que les examens de fin d’année sont prévus dans quelques jours. Déjà les épreuves d’éducation physique et sportive du Diplôme d’Etude Fondamentale qui étaient prévues le samedi 15 août ont été reportées.
Il faut rappeler que c’est après de long mois de grève que le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, a instruit le 16 juin au Premier ministre d’appliquer l’article 39 de la Loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 portant statut particulier du personnel Enseignant. Ce qui avait à l’époque mis fin à la grève des enseignants et le retour des enfants à l’école.
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