Après l’arrestation de l’ancien Président lBK, des partis politiques et des organisations internationales commencent à exprimer leur position. Le PARENA (Parti pour la Renaissance Nationale) a dénoncé ce coup de force.
Pour l’instant, aucune condamnation du parti présidentiel, le RPM, dont était issu le chef de l’Etat. Ce putsch apparaît pour certains comme un soulagement, pour d’autres, c’est un coup d’arrêt à la démocratie et à la marche des institutions.
Selon nos informations, la CODEM aussi pourra se réunir pour condamner toute prise du pouvoir par la force. L’ancien ministre, non moins président de la Convergence pour le Développement au Mali souhaite qu’il y ait un retour à la constitution.
Rappelons que le Président de ce parti, Housseini Amion Guindo avait fortement sollicité le changement de Premier Ministre et avait même refusé toute option d’être reconduit. Après la démission actée d’IBK, les forces vives sont obligées de s’impliquer et de participer au retour à la normalité constitutionnelle.
La CEDEAO, l’union africaine et les Nations Unies et d’autres pays comme la France et les USA ont désapprouvé le coup de force.
Pour l’instant, aucune condamnation du parti présidentiel, le RPM, dont était issu le chef de l’Etat. Ce putsch apparaît pour certains comme un soulagement, pour d’autres, c’est un coup d’arrêt à la démocratie et à la marche des institutions.
Selon nos informations, la CODEM aussi pourra se réunir pour condamner toute prise du pouvoir par la force. L’ancien ministre, non moins président de la Convergence pour le Développement au Mali souhaite qu’il y ait un retour à la constitution.
Rappelons que le Président de ce parti, Housseini Amion Guindo avait fortement sollicité le changement de Premier Ministre et avait même refusé toute option d’être reconduit. Après la démission actée d’IBK, les forces vives sont obligées de s’impliquer et de participer au retour à la normalité constitutionnelle.
La CEDEAO, l’union africaine et les Nations Unies et d’autres pays comme la France et les USA ont désapprouvé le coup de force.
Source: Figaro du Mali
