Sûrement un signal fort, sur le chemin d’un Mali nouveau, actuellement réclamé par population malienne debout depuis trois mois.
Tout le monde en parle !
Mais il y a des préalables à satisfaire.
Depuis la chute du régime d’Ibrahim Boubacar KEITA, dit IBK, la Communauté Internationale a haussé le ton, par la mise en œuvre immédiate des sanctions.
La CEDEAO a mis en exécution ses sanctions, sous le couvert de l’embargo. La francophonie et l’Union Européenne, ont suivi la CEDEAO dans la politique d’isolement du Mali.
Les exigences sont entre autres, le retour à une vie Constitutionnelle normale, une transition d’une année qui devrait être dirigée par des civils.
Toute chose qui pourrait aider à la levée des sanctions imposées.
Mais comment cela serait-il possible, là où les opinions sont bien diverses et même souvent contradictoires ?
Dans un tel contexte, il y a effectivement besoin urgent, d’orienter les acteurs des mouvements politico-sociaux, qui ont battu le pavé au Mali et dans la diaspora, vers la voie des opinions communes.
Les hommes forts pays, désormais connus sous l’appellation du CNSP, ont depuis leur prise du pouvoir, multiplié des actes forts dans le sens de l’apaisement.
Ils ont, à cet effet, organisé une rencontre pour la validation des termes de références des préparatifs de la transition.
Hier a été une journée où toutes les couches composantes de la nation malienne, se sont retrouvées pour penser le Mali, aux fins de vraies réponses à l’épineuse équation de la transition.
Si rien a encore été décidé, cette concertation a eu le mérite d’avoir réuni les filles et fils de la nation, pour minimiser la méfiance et surtout de dégager les bases d’une confiance Nationale, entre les militaires du CNSP et les Forces Vives de la Nation.
Dans cette logique, un seul langage du choix souverain de la Nation Malienne, pourrait être entendu et pris en compte par la Communauté internationale.
La Rédaction
Tout le monde en parle !
Mais il y a des préalables à satisfaire.
Depuis la chute du régime d’Ibrahim Boubacar KEITA, dit IBK, la Communauté Internationale a haussé le ton, par la mise en œuvre immédiate des sanctions.
La CEDEAO a mis en exécution ses sanctions, sous le couvert de l’embargo. La francophonie et l’Union Européenne, ont suivi la CEDEAO dans la politique d’isolement du Mali.
Les exigences sont entre autres, le retour à une vie Constitutionnelle normale, une transition d’une année qui devrait être dirigée par des civils.
Toute chose qui pourrait aider à la levée des sanctions imposées.
Mais comment cela serait-il possible, là où les opinions sont bien diverses et même souvent contradictoires ?
Dans un tel contexte, il y a effectivement besoin urgent, d’orienter les acteurs des mouvements politico-sociaux, qui ont battu le pavé au Mali et dans la diaspora, vers la voie des opinions communes.
Les hommes forts pays, désormais connus sous l’appellation du CNSP, ont depuis leur prise du pouvoir, multiplié des actes forts dans le sens de l’apaisement.
Ils ont, à cet effet, organisé une rencontre pour la validation des termes de références des préparatifs de la transition.
Hier a été une journée où toutes les couches composantes de la nation malienne, se sont retrouvées pour penser le Mali, aux fins de vraies réponses à l’épineuse équation de la transition.
Si rien a encore été décidé, cette concertation a eu le mérite d’avoir réuni les filles et fils de la nation, pour minimiser la méfiance et surtout de dégager les bases d’une confiance Nationale, entre les militaires du CNSP et les Forces Vives de la Nation.
Dans cette logique, un seul langage du choix souverain de la Nation Malienne, pourrait être entendu et pris en compte par la Communauté internationale.
La Rédaction
Mandeinfos.com
