La République du Mali de sa naissance à nos jours , a négocié avec plusieurs groupes armés dont les accords sont connus de tous, les contenus de ces accords peuvent être discutés mais tous les régimes à l’exception de la première république ont pactisé avec des groupes rebelles
Pourtant prendre ses armes contre son pays est un crime très grave et la seule sentence prévue par la loi malienne est la mise à mort des reconnus coupables.
Si nos autorités ont eu le courage d’engager le peuple du Mali avec ou sans son consentement pour signer des accords qui réforment en profondeur les lois de la République, pourquoi notre pays a peur de parler avec kouffa et son chef Iyad qui a déjà par le passé pris les armes dans la rébellion pour autre idéologie.
À l’époque,il a accepté le compromis d’ailleurs il a représenté son pays dans un consulat et même conseiller un président selon certaines sources.
Comment comprendre que nous ayons peurs de parler avec deux hommes qui sont des maliens comme nous, qui ont vécu avec des gens que tout le monde connaît, ayant leurs familles,amis et affaires dans le même pays ?
Il faut que les nouvelles autorités évitent de commettre les mêmes erreurs que leurs prédécesseurs qui ont oubliés que même si beaucoup de maliens ne l’ont pas encore défendu ouvertement sont partisans de l’application de la charia comme mode de gouvernance.
Il faut savoir anticiper le coups, le gouvernement doit ouvrir un cadre de dialogue claire avec ces autres maliens partisans d’une autre vision pour ce pays ayant eux aussi leurs émules parmi des maliens et si la loi l’autorisait allaient avoir des postes de députés et autres comme n’importe quel parti politique.
Le gouvernement du Mali doit parler avec Iyad en lui faisant comprendre ce qui est possible et ce qui ne le sera jamais car aucune guerre n’a pas pris fin par des opérations de terrains.
Notre pays a pleins de défis à relever et une guerre pareille n’a pas lieu d’être.
Il faut que les maliens comprennent que même les puissances économiques et militaires ont lamentablement échoué en Afghanistan et les U.S.A qui ont pour slogan » on ne négocie pas avec les terroristes » ont finalement dialogué avec eux.
Il a fallu des milliers de morts de parts et d’autres sans compter les dégâts matériels estimés à des milliards pour que les deux parties s’essayent autour d’une table.
Allons nous continuer compter nos morts, perdre nos villes ,faires des veuves et des orphelains, jouant le jeu de certains partenaires qui n’ont que faire de nous et n’ont les yeux rivés que sur nos richesses qu’ils pillent allègements ?
La solution au centre et au Nord ne passe que par un dialogue clair et franc sans détour d’une part et d’autres partis créer le développement économique dans ces zones pour les jeunes,instaurer une justice équitable, et créer les conditions d’une sécurité durable avec l’implication des communautés locales.
L’extrémisme violent ne peut-être vaincu que par le développement, la justice, la justice sociale.
#ADIAWIAKOYE
Pourtant prendre ses armes contre son pays est un crime très grave et la seule sentence prévue par la loi malienne est la mise à mort des reconnus coupables.
Si nos autorités ont eu le courage d’engager le peuple du Mali avec ou sans son consentement pour signer des accords qui réforment en profondeur les lois de la République, pourquoi notre pays a peur de parler avec kouffa et son chef Iyad qui a déjà par le passé pris les armes dans la rébellion pour autre idéologie.
À l’époque,il a accepté le compromis d’ailleurs il a représenté son pays dans un consulat et même conseiller un président selon certaines sources.
Comment comprendre que nous ayons peurs de parler avec deux hommes qui sont des maliens comme nous, qui ont vécu avec des gens que tout le monde connaît, ayant leurs familles,amis et affaires dans le même pays ?
Il faut que les nouvelles autorités évitent de commettre les mêmes erreurs que leurs prédécesseurs qui ont oubliés que même si beaucoup de maliens ne l’ont pas encore défendu ouvertement sont partisans de l’application de la charia comme mode de gouvernance.
Il faut savoir anticiper le coups, le gouvernement doit ouvrir un cadre de dialogue claire avec ces autres maliens partisans d’une autre vision pour ce pays ayant eux aussi leurs émules parmi des maliens et si la loi l’autorisait allaient avoir des postes de députés et autres comme n’importe quel parti politique.
Le gouvernement du Mali doit parler avec Iyad en lui faisant comprendre ce qui est possible et ce qui ne le sera jamais car aucune guerre n’a pas pris fin par des opérations de terrains.
Notre pays a pleins de défis à relever et une guerre pareille n’a pas lieu d’être.
Il faut que les maliens comprennent que même les puissances économiques et militaires ont lamentablement échoué en Afghanistan et les U.S.A qui ont pour slogan » on ne négocie pas avec les terroristes » ont finalement dialogué avec eux.
Il a fallu des milliers de morts de parts et d’autres sans compter les dégâts matériels estimés à des milliards pour que les deux parties s’essayent autour d’une table.
Allons nous continuer compter nos morts, perdre nos villes ,faires des veuves et des orphelains, jouant le jeu de certains partenaires qui n’ont que faire de nous et n’ont les yeux rivés que sur nos richesses qu’ils pillent allègements ?
La solution au centre et au Nord ne passe que par un dialogue clair et franc sans détour d’une part et d’autres partis créer le développement économique dans ces zones pour les jeunes,instaurer une justice équitable, et créer les conditions d’une sécurité durable avec l’implication des communautés locales.
L’extrémisme violent ne peut-être vaincu que par le développement, la justice, la justice sociale.
#ADIAWIAKOYE
Source: MaliScoop
