Dans un communiqué conjoint le Syndicat Autonome des Magistrats (SAM) et le Syndicat Libre des Magistrats (SYLIMA) s’indignent de l’exacerbation des attaques imméritées contre l’institution judiciaire et ses acteurs centraux.
Le Syndicat Autonome des Magistrats (SAM) et le Syndicat Libre des Magistrats (SYLIMA) disent constater avec regret la recrudescence des attaques contre l’institution judiciaire et ses acteurs centraux. Cela disent-ils au nom d’une certaine liberté d’expression et/ou d’une prétendue partisannerie. Toute chose que déplorent les syndicats des magistrats.
Selon eux, les personnes qui s’adonnent à cette pratique donnent un contenu biaisé de la liberté d’expression. Loin d’être un liberticide, le SAM et le SYLIMA rappellent avec gravité que ces différentes libertés ont été attachées au prix du sang et érigées, de ce fait, en valeurs constitutionnelles dans notre pays.
Toutefois, le SAM et le SYLIMA ne sont pas hostiles à toutes critiques. Celles-ci doivent être constructives et objectives. C’est en tout ce que plaident les syndicats de la magistrature. Les deux syndicats rassurent par la même occasion ses militants de leur ferme détermination à continuer la défense des intérêts moraux de la corporation.
Il faut rappeler que la justice essuie, depuis quelques mois, de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux de la part de beaucoup d’internautes. Les deux syndicats ont déjà porté plainte contre deux personnes dont l’une d’entre elle croupis en prison. En 2019, le Syndicat Autonome des Magistrats (SAM) et le Syndicat Libre des Magistrats (SYLIMA) avaient reçu à condamner deux autres. Après quelques mois d’incarcération, celles-ci ont fini par être mis en liberté provisoire.
Selon eux, les personnes qui s’adonnent à cette pratique donnent un contenu biaisé de la liberté d’expression. Loin d’être un liberticide, le SAM et le SYLIMA rappellent avec gravité que ces différentes libertés ont été attachées au prix du sang et érigées, de ce fait, en valeurs constitutionnelles dans notre pays.
Toutefois, le SAM et le SYLIMA ne sont pas hostiles à toutes critiques. Celles-ci doivent être constructives et objectives. C’est en tout ce que plaident les syndicats de la magistrature. Les deux syndicats rassurent par la même occasion ses militants de leur ferme détermination à continuer la défense des intérêts moraux de la corporation.
Il faut rappeler que la justice essuie, depuis quelques mois, de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux de la part de beaucoup d’internautes. Les deux syndicats ont déjà porté plainte contre deux personnes dont l’une d’entre elle croupis en prison. En 2019, le Syndicat Autonome des Magistrats (SAM) et le Syndicat Libre des Magistrats (SYLIMA) avaient reçu à condamner deux autres. Après quelques mois d’incarcération, celles-ci ont fini par être mis en liberté provisoire.
La rédaction
Mandeinfos.com
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