La presse malienne après la publication d’un communiqué qui porte atteinte à la liberté de la presse, l’ensemble de la presse a été invitée à une conférence de presse ce dimanche 20 Décembre 2020 à la Maison de la presse. Cette conférence a été initiée par les faitière de la presse. Le communiqué invitant la presse à la Maison de la presse a été signé par le président de la Maison de la Presse, Dramane Aliou KONE, le Président de l’URTEL Bandiougou DANTÉ, le Président de l’ASSEP, Bassidiki TOURE et le président de ‘Appel-Mali, Modibo FOFANA. Cette conférence a été organisée dans le but de donner une réponse au Communiqué du Ministère de l’Administration Territoriale.
Le président de la Maison de la Presse, Dramane Aliou KONE, s’adressant aux journalistes a souligné que dès la publication du communiqué, les présidents des faîtières de la presse malienne se sont concertés pour élaborer et publier un communiqué qui appelle l’ensemble de la presse nationale à se réunie et discuter sur les dispositions prises par le gouvernement en rapport avec la presse et surtout se mettre à l’abri de la confiscation d’un droit fondamental acquis en 1991 aux pris du sang des maliens.
Le président de l’Union des radiodiffusions et télévisions libres du Mali (URTEL) Bandjougou DANTE s’est dit surpris d’apprendre sur les réseaux sociaux, comme c’est la façon pour les nouvelles autorités d’informer, la publication de ce fameux communiqué du gouvernement.
Selon M; DANTE « Le communiqué en soi ne devrait pas poser de problème dans la mesure où les dispositions de la loi relative à l’état d’urgence ont été rappelées à la population. Après l’analyse du communiqué, les responsables de la presse se sont demandés en quoi la lutte contre la maladie à coronavirus donne un quelconque droit au autorités de contrôle le contenu médiatique, les appels téléphoniques. C’est cela qui est incompréhensible ».
La presse malienne est en train de jouer un rôle remarquable dans la lutte contre la covid-19 depuis le depuis de la pandémie au Mali en Mars 2020. Pour la seconde vague de la maladie, la presse n’a été ni appelée, ni associée à quoi que ce soit. Elle a été vraiment surpris de la publication de ce communiqué du gouvernement qui va dans le sens de la restriction de la liberté de la presse.
Selon toujours M;Danté de l’URTEL, « A chaque fois que nous sentons une violation de notre droit fondamental, qui est la liberté de la presse, nous nous mettons en contacte avec les défenseurs des Droits de l’Homme surtout avec la Commission Nation Nationale des Droits de l’Homme (CNDH). Il faut souligner aussi que le président de la CNDH, M.Aguibou BOUARE, sur les ententes de RFI a dénoncé la restrictions des libertés publiques par l’état d’urgence.
Les journalistes au cours de cette conférence de presse se sont dits déterminés à ne jamais accepter de la remise en cause de la liberté de la presse par que ce soit.
La conférence s’est déroulée en présence de beaucoup de faitières telles que l’ASSEP, l’URTEL, l’APPEL, l’UNAJOM etc. Les journalistes ont également répondu à l’appel de façon massive malgré un jour férié, dimanche.
Source: Autre presse
Le président de la Maison de la Presse, Dramane Aliou KONE, s’adressant aux journalistes a souligné que dès la publication du communiqué, les présidents des faîtières de la presse malienne se sont concertés pour élaborer et publier un communiqué qui appelle l’ensemble de la presse nationale à se réunie et discuter sur les dispositions prises par le gouvernement en rapport avec la presse et surtout se mettre à l’abri de la confiscation d’un droit fondamental acquis en 1991 aux pris du sang des maliens.
Le président de l’Union des radiodiffusions et télévisions libres du Mali (URTEL) Bandjougou DANTE s’est dit surpris d’apprendre sur les réseaux sociaux, comme c’est la façon pour les nouvelles autorités d’informer, la publication de ce fameux communiqué du gouvernement.
Selon M; DANTE « Le communiqué en soi ne devrait pas poser de problème dans la mesure où les dispositions de la loi relative à l’état d’urgence ont été rappelées à la population. Après l’analyse du communiqué, les responsables de la presse se sont demandés en quoi la lutte contre la maladie à coronavirus donne un quelconque droit au autorités de contrôle le contenu médiatique, les appels téléphoniques. C’est cela qui est incompréhensible ».
La presse malienne est en train de jouer un rôle remarquable dans la lutte contre la covid-19 depuis le depuis de la pandémie au Mali en Mars 2020. Pour la seconde vague de la maladie, la presse n’a été ni appelée, ni associée à quoi que ce soit. Elle a été vraiment surpris de la publication de ce communiqué du gouvernement qui va dans le sens de la restriction de la liberté de la presse.
Selon toujours M;Danté de l’URTEL, « A chaque fois que nous sentons une violation de notre droit fondamental, qui est la liberté de la presse, nous nous mettons en contacte avec les défenseurs des Droits de l’Homme surtout avec la Commission Nation Nationale des Droits de l’Homme (CNDH). Il faut souligner aussi que le président de la CNDH, M.Aguibou BOUARE, sur les ententes de RFI a dénoncé la restrictions des libertés publiques par l’état d’urgence.
Les journalistes au cours de cette conférence de presse se sont dits déterminés à ne jamais accepter de la remise en cause de la liberté de la presse par que ce soit.
La conférence s’est déroulée en présence de beaucoup de faitières telles que l’ASSEP, l’URTEL, l’APPEL, l’UNAJOM etc. Les journalistes ont également répondu à l’appel de façon massive malgré un jour férié, dimanche.
Source: Autre presse