Ansongo, 6 fév (AMAP) Le braquage de deux véhicules de particuliers, par quatre individus armés non identifiés, a fait, vendredi, un mort, un léger blessé et des biens emportés, sur le tronçon Ansongo-Labbezanga, à 13 km de la ville malienne, dans le Nord, a appris l’AMAP de passagers du convoi.
« Il était 9 heures passées, lorsque quatre personnes bien armées ont commencé à tirer sur nous, à 13 km de la ville d’Ansongo. Une balle a mortellement atteint un jeune, de nationalité nigérienne, âgé de 30 ans et un autre a été légèrement blessé », a raconté une victime.
“Nous sommes des chauffeurs nigériens assurant le convoyage de véhicules de Cotonou (Bénin) à Gao (Mali). Nous sommes sept passagers, dont mon épouse et ma mère, à bord de deux véhicules. Nous avons quitté Gao ce matin (Ndlr, vendredi) en direction du Niger, avec ces véhicules pour des travaux de réparation à Niamey, au Niger”, a expliqué l’homme.
“Nous avons été contraints de nous arrêter. Les assailants nous ont ordonnés de descendre du véhicule, avant de nous mettre, tous, ventre à terre. Nous avons été dépouillés de tous nos biens (argent, téléphones et autres objets plus précieux), a dit un passager du deuxième véhicule.
“Pire, même le passager tué a été dépouillé!!!”, a-t-il ajouté, encore interloqué et horrifié.
Sous le choc, une voiture a fait un accident qui l’a sérieusement endommagé.
“Ils nous ont abandonnés sur place, après avoir fini leur opération. Nous étions donc obligés de rebrousser chemin sur Ansongo”, a dit cette victime, un habitué du tronçon. “C’est ma première fois de vivre une telle horreur”, a-t-il conclu.
En attendant son enterrement, le corps de la victime est à la morgue du Centre de santé de référence (CSRéf) d’Ansongo.
Les braquages et autres actes sont devenus quotidiens le tronçon Ansongo-Labbezanga. Le mercredi 3 février 2021, des passagers ont été victimes d’un braquage sur ce tronçon, En décembre dernier, deux camions ont été brûlés, par des individus non identifies, au même endroit que le braquage de ce vendredi.
SAM/MD
Source: AMAP
« Il était 9 heures passées, lorsque quatre personnes bien armées ont commencé à tirer sur nous, à 13 km de la ville d’Ansongo. Une balle a mortellement atteint un jeune, de nationalité nigérienne, âgé de 30 ans et un autre a été légèrement blessé », a raconté une victime.
“Nous sommes des chauffeurs nigériens assurant le convoyage de véhicules de Cotonou (Bénin) à Gao (Mali). Nous sommes sept passagers, dont mon épouse et ma mère, à bord de deux véhicules. Nous avons quitté Gao ce matin (Ndlr, vendredi) en direction du Niger, avec ces véhicules pour des travaux de réparation à Niamey, au Niger”, a expliqué l’homme.
“Nous avons été contraints de nous arrêter. Les assailants nous ont ordonnés de descendre du véhicule, avant de nous mettre, tous, ventre à terre. Nous avons été dépouillés de tous nos biens (argent, téléphones et autres objets plus précieux), a dit un passager du deuxième véhicule.
“Pire, même le passager tué a été dépouillé!!!”, a-t-il ajouté, encore interloqué et horrifié.
Sous le choc, une voiture a fait un accident qui l’a sérieusement endommagé.
“Ils nous ont abandonnés sur place, après avoir fini leur opération. Nous étions donc obligés de rebrousser chemin sur Ansongo”, a dit cette victime, un habitué du tronçon. “C’est ma première fois de vivre une telle horreur”, a-t-il conclu.
En attendant son enterrement, le corps de la victime est à la morgue du Centre de santé de référence (CSRéf) d’Ansongo.
Les braquages et autres actes sont devenus quotidiens le tronçon Ansongo-Labbezanga. Le mercredi 3 février 2021, des passagers ont été victimes d’un braquage sur ce tronçon, En décembre dernier, deux camions ont été brûlés, par des individus non identifies, au même endroit que le braquage de ce vendredi.
SAM/MD
Source: AMAP