Crée en 1990 dans le but de promouvoir la culture de l’excellence été rendre l’école malienne plus compétitive, l’AEEM est aujourd’hui un frein au bon fonctionnement de l’école malienne.
La vision de création et les objectifs tels que défendre les droits des élèves et étudiants est très noble car un secteur sans élément « régulateur » est aussi mauvais.
Mais force est de constater aujourd’hui que l’AEEM cause plus de tort aux élèves et étudiants que de défendre leurs intérêts.
Cette organisation sensée travailler pour offrir de meilleures conditions de vies et d’études aux élèves et étudiants est devenue une mafia qui ne dit pas son nom avec son corolaire d’actes repréhensibles contre ceux dont elle doit défendre les droits.
En un mot; c’est la violence inouïe qui caractérise l’AEEM aujourd’hui.
Les élèves et étudiants en lieu et place d’avoir des stylos et des blocs-notes ont des armes de fabrication artisanale et des coupe-coupe.
Où trouvent-ils ces armes?
Rappelons-nous lors de l’opération de sécurisation de la ville de Bamako lancée par l’ancien ministre de la sécurité, le général Salif Traoré en Janvier 2019; les descentes de police avaient permis de démanteler plusieurs ateliers de fabrication d’armes artisanales.
Et bien; ce sont ces fabricants d’armes artisanales qui sont les fournisseurs de nos élèves et étudiants. Un pistolet de fabrication artisanale coûte entre 10.000 FCFA et 15.000 FCFA donc à la portée des étudiants et des autres délinquants qui écument la cité.
L’AEEM ne doit pas disparaitre car les élèves et étudiants ont besoin d’une organisation pour défendre leurs droits.
Mais nos autorités doivent prendre des initiatives en vue d’assainir cette organisation.
Les universités et autres lieux d’apprentissage doivent être sécurisé.
Pourquoi ne pas mettre des scanners corporels aux entrées des universités afin d’éviter que les armes ne rentrent?
Les fabricants d’armes artisanales qui avaient connus un arrêt lors de l’opération de 2019 ont repris du service. Ces hommes ne peuvent pas être recrutés, formés et mis à la disposition des Fama afin de faire montre de leurs talents dans l’entretien voire la réparation des armes de nos militaires?
Le cadre scolaire et estudiantin n’est plus propice aux études car lieux d’insécurité et de violence alors il faut un véritable « plan Marshall » pour assainir ce milieu.
Les parents envoient leurs enfants étudiés ; ceux-ci deviennent des gangsters qu’on leur renvoient avec des membres en moins et souvent dans des cercueils.
L’éducation est la base de toute société qui se veut grande alors ce problème doit faire objet d’une attention particulière.
Mali Nyeta
La vision de création et les objectifs tels que défendre les droits des élèves et étudiants est très noble car un secteur sans élément « régulateur » est aussi mauvais.
Mais force est de constater aujourd’hui que l’AEEM cause plus de tort aux élèves et étudiants que de défendre leurs intérêts.
Cette organisation sensée travailler pour offrir de meilleures conditions de vies et d’études aux élèves et étudiants est devenue une mafia qui ne dit pas son nom avec son corolaire d’actes repréhensibles contre ceux dont elle doit défendre les droits.
En un mot; c’est la violence inouïe qui caractérise l’AEEM aujourd’hui.
Les élèves et étudiants en lieu et place d’avoir des stylos et des blocs-notes ont des armes de fabrication artisanale et des coupe-coupe.
Où trouvent-ils ces armes?
Rappelons-nous lors de l’opération de sécurisation de la ville de Bamako lancée par l’ancien ministre de la sécurité, le général Salif Traoré en Janvier 2019; les descentes de police avaient permis de démanteler plusieurs ateliers de fabrication d’armes artisanales.
Et bien; ce sont ces fabricants d’armes artisanales qui sont les fournisseurs de nos élèves et étudiants. Un pistolet de fabrication artisanale coûte entre 10.000 FCFA et 15.000 FCFA donc à la portée des étudiants et des autres délinquants qui écument la cité.
L’AEEM ne doit pas disparaitre car les élèves et étudiants ont besoin d’une organisation pour défendre leurs droits.
Mais nos autorités doivent prendre des initiatives en vue d’assainir cette organisation.
Les universités et autres lieux d’apprentissage doivent être sécurisé.
Pourquoi ne pas mettre des scanners corporels aux entrées des universités afin d’éviter que les armes ne rentrent?
Les fabricants d’armes artisanales qui avaient connus un arrêt lors de l’opération de 2019 ont repris du service. Ces hommes ne peuvent pas être recrutés, formés et mis à la disposition des Fama afin de faire montre de leurs talents dans l’entretien voire la réparation des armes de nos militaires?
Le cadre scolaire et estudiantin n’est plus propice aux études car lieux d’insécurité et de violence alors il faut un véritable « plan Marshall » pour assainir ce milieu.
Les parents envoient leurs enfants étudiés ; ceux-ci deviennent des gangsters qu’on leur renvoient avec des membres en moins et souvent dans des cercueils.
L’éducation est la base de toute société qui se veut grande alors ce problème doit faire objet d’une attention particulière.
Mali Nyeta
